Le capital de toutes les souffrances

Author: 
Patrice Faubert
Locality: 

4 G, 0,27 par seconde
5 G, 0,01 par seconde
Mais tout G
C'est surtout de la surveillance
De la fausse bienveillance
Soixante dix pour cent pour la 5 G, ô parjure d'espérance
Avec des matériaux rares
Avec des déchets pas avares
Au tout artificiel
Quand se perd même le sommeil naturel
Et toute lumière artificielle
Perturbant notablement le sommeil
Dix pour cent de la population mondiale
Est devenue insomniaque, affolement neuronal
Six millions d'insomniaques en France
Avec 6 heures et 48 minutes de sommeil moyen en France
Car
Le temps de l'économie
N'est pas le temps, de l'être humain et de sa biologie
Le temps n'est plus perçu
Seul le temps artificiel de l'économie est su
Maladies, accidents, obésité ou surcharge pondérale, de la malbouffe
Le manque de sommeil nous étouffe
De la vitesse d'alimentation, donc, de la piètre concentration
Du travail décalé, de la dépression, prix de la promotion
Obscurité, sommeil, jeûne, en perturbation
Trop de luminosité, des troubles d'endormissement, en généralisation !
Avec des somnifères
En fait de l'anesthésie légère
Et en Europe
L'Espagne et la France, au top
Avec de l'apnée rarement passagère
De la respiration comme sans air
Avec tout son corollaire
Trois cent millions
Dans le monde, de gens en dépression
Notre sommeil est de mauvaise qualité
Nous ne dormons pas assez
Et bien dormir c'est bien récupérer
Vive le droit de ne rien faire et de paresser
Du capitalisme et de ses inéluctabilités
Tous les déchets non accumulés
Pour les bras de Morphée, un même procédé
Certaines analogies pouvant s'accoupler
L'organisation du monde est comme du cortisol
Tous les jours, riches ou pauvres, nous buvons son bol
De l'incohérence cardiaque
Quand tout bave du patraque
Quand tout sidère en vrac
Du n'importe quoi capitalisé et de son micmac
Certes
Pas à somnoler vingt heures comme le lion
Car selon chaque espèce animale, c'est selon
Or, le monde est bien nazi
Tant et tant de la vilenie
De l'expertise en dame hypocrisie
Ainsi, du transport des animaux vivants
Europe, Amérique du Sud, vers l'ouest
Bétaillères de l'horreur
Sans boire ni manger, des jours et des heures et des jours et des heures
Et à l'arrivée, animaux vivants, de la torture, de la terreur
Et à l'arrivée, animaux maltraités et tués, par des tortionnaires moqueurs !
Du produit d'exportation
Du produit d'extermination
Du produit de concentration
Toute une indéfinissable monstruosité
Toute une indéfinissable cruauté
Et l'industrie laitière en complicité
Avec des veaux, déchets de cette industrie meurtrière
La mort comme fin dernière
Comme en Egypte ou d'autres pays arabes
La bêtise immonde demande du rab
Animaux non étourdis
Découpés vivants, égorgés vivants, c'est ainsi
Israël aussi s'y met à table
Et la religion n'a rien à y voir
De la falsification pour le faire croire
Toute une tradition honteuse dans bien des pays
Du trafic de bétail sans aucun souci
Et pour l'animal humain
Et pour l'animal non-humain
Il en a été ainsi
Il en est ainsi
Dans une société nazie, il en sera toujours ainsi
Au tout fascisme, au tout stalinisme, au tout nazi
Qui surent bien faire des petits
Mais appelant cela, de nos jours, la démocratie
Donc
Tout pue la maltraitance
Et nous ne consommons que de la souffrance
De l'exploitation humaine et animale
D'une façon l'autre, et pas seulement, la boucherie, c'est l'évidence
Hélas, das faits, sans la moindre outrance
Partout, l'infiltration de mal en mal
Toutes les industries en sont la cadence
Toutes les technologies en sont la relance
La souffrance de toutes les souffrances
De nos cerveaux nazifiés
De nos cerveaux fascisés
De nos cerveaux stalinisés
Et depuis des décennies, mise à jour, année après année !

Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway index "

4G, 0.27 per second
5 G, 0.01 per second
But all G
It's mostly surveillance
Of false benevolence
Seventy percent for the 5G, oh perjury of hope
With rare materials
With not stingy waste
At all artificial
When even natural sleep is lost
And all artificial light
Noticeably disturbing sleep
Ten percent of the world's population
Became insomniac, neuronal panic
Six million insomniacs in France
With 6 hours and 48 minutes of average sleep in France
Because
The time of the economy
Is not the time, of the human being and his biology
Time is no longer perceived
Only the artificial time of the economy is known
Illnesses, accidents, obesity or overweight, junk food
Lack of sleep suffocates us
Feeding speed, therefore, poor concentration
Offset work, depression, promotion price
Darkness, sleep, fast, in disturbance
Too much light, sleep disorders, in general!
With sleeping pills
In fact light anesthesia
And in Europe
Spain and France, at the top
With rarely transient apnea
Breathing like airless
With all its corollary
Three hundred million
Around the world, people in depression
Our sleep is poor
We don't get enough sleep
And to sleep well is to recover well
Long live the right to do nothing and to laze around
Of capitalism and its inevitability
All non-accumulated waste
For the arms of Morpheus, the same process
Some analogies that can mate
The organization of the world is like cortisol
Every day, rich or poor, we drink its bowl
Cardiac inconsistency
When everything drools from the woozy
When everything is flabbergasted
Anything capitalized and its micmac
Certainly
Not to doze off twenty hours like a lion
Because according to each animal species, it is according to
Now the world is really Nazi
So much and so much villainy
Expertise as a lady hypocrisy
Thus, the transport of live animals
Europe, South America, West
Horror cattle trucks
Without eating or drinking, days and hours and days and hours
And upon arrival, live animals, torture, terror
And on arrival, animals mistreated and killed, by mocking torturers!
Export product
Of the extermination product
Concentration product
A whole indefinable monstrosity
All an indefinable cruelty
And the dairy industry in complicity
With calves, waste of this murderous industry
Death as the last end
Like in Egypt or other Arab countries
Filthy stupidity asks for rab
Animals not stunned
Cut up alive, slaughtered alive, that's how it is
Israel also sits there at the table
And religion has nothing to do with it
Falsification to make it seem like
A whole shameful tradition in many countries
Cattle trafficking without any worries
And for the human animal
And for the non-human animal
It was so
It's like that
In a Nazi society it will always be so
All fascism, all Stalinism, all Nazi
Who knew how to make children
But calling it democracy nowadays
So
Everything stinks of abuse
And we only consume pain
Human and animal exploitation
Either way, and not just the butcher shop, it's obvious
Alas, das facts, without the slightest excess
Everywhere, the infiltration from evil to evil
All industries are at the pace
All technologies are relaunching it
The suffering of all suffering
Of our Nazified brains
Of our fascinated brains
Of our stalinized brains
And for decades, updated, year after year!

Patrice Faubert (2020) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat says the guest on "hiway index"

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