Tutelle comportementaliste

Author: 
Patrice Faubert
Locality: 

La marine marchande
Toute une pollution en offrande
De la pollution, c'est le fret
C'est clair et net
60.000 bateaux dans le monde
30 ans de durée de vie par bateau
Et la pollution continue après, c'est idiot
Sans compter un affreux bruit qui gronde
Ce bruit qui fait échouer
Par exemple, les cétacés
Le coût très bas du transport maritime
De toutes nos addictions est la prime
Ainsi, le local est plus cher
Ainsi, l'international est moins cher
Pour ce que nous mangeons
Pour ce que nous portons
Tout ce que nous consommons
Tout cela parcourant des milliers de kilomètres
Et cela représente 90 pour cent
De l'économie politique et de son sang
Des cargos de plus en plus grands
Puis les trains, des camions, terminus Auchan
Et d'autres enseignes du commerce géant
Consommation de l'addiction
L'addiction de la consommation
40 pour cent des équipages sont philippins
Car ils parlent anglais, c'est pas pour rien !
Chaque année meurent 2000 marins
Et il y a un naufrage tous les trois jours
Donc de la pollution qui fait son tour
Cela prend la mer pour moins que rien
Les armateurs sont des crapules, des vauriens
Des bateaux pas ou mal entretenus
Langues différentes, un équipage perdu
Et ainsi tous les accidents
Des erreurs humaines, à 60 pour cent
Pour le commerce maritime
Le bénéfice n'est pas infime
450 milliards d'euros par an
Pour les océans et les mers, tout y est malveillant
Et aussi le dégazage
Pour les espèces maritimes, une chambre à gaz
Comme sur terre, tout va devenir naze
500 millions de conteneurs par an
Pas seulement de la nourriture ou des vêtements
Objets, machines, diverses affaires
Mais aussi des drogues, des armes, du trafic divers
Le capitalisme c'est complètement dégueulasse
Il faut tout mettre à la casse
Le capitalisme privé ou étatique est à vomir
Il faut l'achever, il faut le finir
Pollution sonore partout, pollution des mentalités
Les jours de l'espèce humaine sont comptés !
Et face à cela
Beaucoup de complaisance, voilà
Comme nous y revoilà
C'est le pavillon de complaisance
De la marine marchande, exploitation à outrance
De la marine marchande, pollution à outrance
Se fichant royalement des conséquences
Comme le soufre qu'elle dégage
Que toute espèce capitalise dans son bagage !
Et chez tous les mammifères
L'être humain ne doit pas faire le fier
Le ressenti émotionnel est le même
Coopération, entraide, le même thème
Contre l'injustice, pour la morale, aussi
Elles se valent toutes, les vies
De l'animal humain
De l'animal non humain
Le rat, le chimpanzé, le loup, l'éléphant
Les oiseaux sont aussi malins, c'est évident
L'éléphant se reconnaît dans une glace
Bien d'autres, l'éthologie nous le dit en face
Et des animaux que nous mangeons
Pour avoir bonne conscience, nous les abêtissons
Les autres animaux que nous
Ne sont pas plus bêtes que nous
Leurs émotions s'expriment autrement, c'est tout !
Sans la découverte des ondes gravitationnelles
Mais la lionne ne tue pas la lionne, elle
L'être humain n'est pas tué par le cochon
Qui fera de lui des saucissons
Cela dépasse largement notre fausse compassion
Et tout ce qui est contre la vie
Ne mérite aucunement la vie
Voilà bien le véritable défi
Pour l'intelligence, pour l'anarchie
Donc, le fascisme, le libéralisme, le stalinisme, le nationalisme
Toutes les variantes diverses du capitalisme
L'humanité
N'ayant pas su ou pu les éradiquer
C'est l'humanité qui sera éradiquée
Cela se passe sous nos yeux
L'on ne peut plus en arrêter les feux
Du capital c'est la rumeur
Comme le facteur délateur
Qui connaît toutes nos heures
Et dans chaque bureau de poste, c'est ainsi
Pour nous surveiller, il y a un képi
Et la poste qui nous épie
Sait si nous sommes un bon citoyen
C'est-à-dire pour le capitalisme
Sait si nous sommes un mauvais citoyen
C'est-à-dire contre le capitalisme
De part le courrier que nous recevons
De par nos abonnements, ce que nous lisons
Ce fascisme au quotidien, ordinaire
C'est bien cela la société réactionnaire
Où l'on récompense tous les reniements
Toutes les résignations, tout ce qui est obéissant !
Comme la désinformation étudiée
Toute une information manipulée
C'est de la radio, c'est de la télé
Ainsi
6 novembre 2004, Bouaké
9 militaires français tués
39 défigurés, amputés, les blessés
En Côte d'Ivoire, il faut le pays, le situer
La base militaire du lycée Descartes
Avec, le pouvoir français, a joué aux cartes
Et cela fut bombardé
Par deux mercenaires biélorusses, pilotes expérimentés
Boris Smahin ( né en 1956 )
Yuri Sushkin ( né en 1952 )
Et une autorisation de tirer
Forcément, la France pour tout organiser
La Côte d'Ivoire étant sous sa totale tutelle
Ce pays ne pouvant rien faire sans elle
Il s'agissait, en fait, de remplacer un régime
La guerre civile avait déjà sa consigne
Comme d'habitude, des sacrifiés de l'Etat
C'est tout simple, c'est une stratégie d'Etat
Aucun complot
Sauf pour les gogos
Et donc la pratique d'un attentat
Pour préparer un futur coup d'Etat !
Le système ne mérite aucune mansuétude
Qui fabrique de la bêtise, de l'hébétude
Ainsi, rien qu'en France, record d'Europe
Chaque année, 60.000 tonnes de pesticides, et hop
Sont versés, et vive la démence !
Comme nos médicaments
Avec le plus souvent dedans
Du dioxyde de titane, toxique comme l'amiante
Et à long terme, des pathologies évidentes
Au capital
Le sens des mots y participe
Au capital
Tous les métiers, toutes les activités y participent
Ainsi, dans une sotte société
Il n'y a que des sots métiers
Je puis de cela, parler
Moi, qui du chômage, suis un retraité
Ce qui m'a permis de toujours étudier
De l'interdisciplinarité et ce sans discontinuité
Vrai étudiant toujours hors de l'université
De m'amuser, lire, écrire, méditer
Certes, pur autodidacte, d'aucune université
Peu me chaut de n'être point diplômé
Et beaucoup de temps, pour observer et constater !
Ainsi, plus les gens sont pauvres
Et plus, ils vont au fascisme
S'ils savaient, certes, ils iraient à l'anarchisme
C'est l'ignorance qui fait la pensée étroite
Mes mains en sont toutes moites
Il n'y a pas de hiérarchie dans la sottise
Aussi chaque fascisme y a sa mise
Tout le monde pense
C'est là notre commune danse
" Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras "
Ainsi, jamais, pour l'anarchie, on ne saura
La peur du encore pire après
Nos certitudes, nos habitudes, nos routines, nos mais !

Patrice Faubert ( 2016 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway index "

Merchant Marine
All pollution in offering
Pollution is freight
It's clear and clear
60,000 boats in the world
30 years of life per boat
And pollution continues after, it's silly
Not to mention a frightful noise that roars
This noise that makes it fail
For example, cetaceans
The very low cost of shipping
Of all our addictions is the premium
So, the local is more expensive
So, the international is cheaper
For what we eat
For what we wear
All we consume
All this traveling thousands of kilometers
And that's 90 percent
Political economy and his blood
Increasingly large freighters
Then trains, trucks, terminus Auchan
And other giant trade signs
Consumption of addiction
The addiction of consumption
40 percent of crews are Filipino
Because they speak English, it's not for nothing!
Every year die 2000 seafarers
And there is a shipwreck every three days
So pollution that is making its turn
It takes the sea for less than nothing
Shipowners are scoundrels, rascals
Boats not or poorly maintained
Different languages, a lost crew
And so all the accidents
Human errors, at 60 percent
For maritime trade
The profit is not small
450 billion euros per year
For the oceans and the seas, everything is malicious
And also degassing
For marine species, a gas chamber
Like on earth, everything will become naze
500 million containers a year
Not just food or clothes
Objects, machines, various businesses
But also drugs, weapons, various traffic
Capitalism is completely disgusting
We must put everything to the break
Private or state capitalism is to throw up
You have to finish it, you have to finish it
Noise pollution everywhere, pollution of mentalities
The days of the human race are numbered!
And in front of that
A lot of complacency, that's it
As we are back
This is the flag of convenience
From the merchant marine, excessive exploitation
From the merchant marine, excessive pollution
Royally ignoring the consequences
Like the sulfur it releases
That all species capitalize in his luggage!
And in all mammals
The human being must not be proud
The emotional feeling is the same
Cooperation, mutual help, the same theme
Against injustice, for morality, too
They are all worth, the lives
From the human animal
From the non-human animal
The rat, the chimpanzee, the wolf, the elephant
The birds are also smart, it's obvious
The elephant can be recognized in an ice cream
Many others, ethology tells us opposite
And animals we eat
In order to have a good conscience, we put them down
Other animals that we
Are not more stupid than us
Their emotions are expressed differently, that's all!
Without the discovery of gravitational waves
But the lioness does not kill the lioness, she
The human being is not killed by the pig
Who will make him sausages
This far exceeds our false compassion
And all that is against life
Does not deserve any life
That's the real challenge
For intelligence, for anarchy
So fascism, liberalism, Stalinism, nationalism
All the different variants of capitalism
mankind
Not knowing or able to eradicate them
It is humanity that will be eradicated
This is happening before our eyes
We can not stop the fires
Capital is the rumor
As the informer
Who knows all our hours
And in every post office, that's how
To watch us, there is a kepi
And the post that is watching us
Knows if we are a good citizen
That is to say for capitalism
Know if we are a bad citizen
That is, against capitalism
From the mail we receive
By our subscriptions, what we read
This everyday fascism, ordinary
That's the reactionary society
Where we reward all denials
All resignation, all that is obedient!
As the misinformation studied
Any information manipulated
It's radio, it's TV
So
November 6, 2004, Bouake
9 French soldiers killed
39 disfigured, amputees, wounded
In Ivory Coast, you need the country, to locate it
The military base of the Lycée Descartes
With, French power, played cards
And that was bombed
By two Belarusian mercenaries, experienced pilots
Boris Smahin (born in 1956)
Yuri Sushkin (born in 1952)
And an authorization to shoot
Of course, France to organize everything
Côte d'Ivoire being under its total supervision
This country can not do anything without it
It was, in fact, to replace a
The civil war already had its instructions
As usual, sacrificed state
It's simple, it's a state strategy
No plot
Except for the gogos
And so the practice of an attack
To prepare for a future coup!
The system does not deserve any leniency
Who makes stupidity, stupidity
Thus, only in France, record of Europe
Every year, 60,000 tons of pesticides, and hop
Are paid, and long live the madness!
Like our medicines
With the most often in
Titanium dioxide, toxic as asbestos
And in the long term, obvious pathologies
In the capial
The meaning of words participates
In the capial
All trades, all activities participate
So, in a silly society
There are only foolish trades
I can do that, talk
Me, who is unemployed, am a pensioner
Which allowed me to always study
Interdisciplinarity without interruption
True student always out of college
Having fun, reading, writing, meditating
Certainly, pure self-taught, no university
I do not care about not being a graduate
And a lot of time, to observe and see!
So, the poorer people are
And more, they go to fascism
If they knew, certainly, they would go to anarchism
It is ignorance that makes thinking narrow
My hands are all wet
There is no hierarchy in foolishness
So every fascism has its place
Everyone thinks
This is our common dance
" A bird in hand is worth two in the bush "
So, never, for anarchy, we will not know
The fear of even worse after
Our certainties, our habits, our routines, our but!

Patrice Faubert (2016) puète, peuète, pouete, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat says the guest on "hiway

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